Nous avons l’obligation morale de tenir compte des signes avant-coureurs de la santé de notre planète

DOSSIER – Ce sept. La photo d’archive du 15 décembre 2009 montre une zone déboisée près de Novo Progresso dans l’État de Para, au nord du Brésil. (AP Photo / André Penner, Dossier)

Les connaissances que nous avons acquises en tant qu’êtres humains sont peu importantes si nous ne pouvons pas accepter la croissance de notre population au-delà de la durabilité de notre planète.

Si nous examinons chaque problème majeur auquel le monde est confronté aujourd’hui, il n’y en a pas un qui ne puisse bénéficier d’une diminution de notre population. Notre propension à procréer au-delà de nos moyens, quel que soit le résultat pour le reste des habitants de la Terre, pourrait très bien être notre perte. Notre empiètement constant sur la nature et notre refus obstiné d’accepter notre responsabilité en tant que pièce du puzzle dans l’ordre naturel de notre monde ne pourraient être plus évidents.

Que se passe-t-il alors si nous continuons à paver la planète, si nous appauvrissons nos forêts, si nos eaux et notre air sont empoisonnés au-delà de la consommation et incapables de soutenir la vie ? Nous constatons déjà les effets néfastes de notre réticence à réduire notre consommation et à avoir moins de descendants. Quoi qu’il en soit, nous avons l’obligation morale de respecter toutes les formes de vie autres que la nôtre et de tenir compte des signes avant-coureurs de la santé de notre planète.

Hugh Culley, Murray

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